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Livre --- Livre-objet
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Ce sont 47 esquisses que Rémy Zaugg a consacrées à l'étude de "La maison du pendu (1963 - 1968)" de Paul Cézanne. L'artiste y met en jeu sa propre perception en convertissant en mots les sensations visuelles qui lui proviennent du tableau. Dans un cadre tracé sur une feuille, il place ceux-ci relativement au lieu ponctuel d'où lui provient la sensation. Le texte "Les esquisses perceptives de Rémy Zaugg" s'empare de cette suite d'esquisses pour en faire une séquence filmique - à entendre au sens large d'une conjonction du mouvement et de la reproduction - et la lire comme telle. Leur sujet, la perception de Rémy Zaugg, est lu dans ses transformations successives au fil des prises de notes qui traduisent un retour opiniâtre sur le tableau de Cézanne au cours des quatre ans de leur construction. Une telle entreprise ne se limite pas seulement à démontrer qu'une évolution de la perception a bien eu lieu mais que cette évolution est aussi le produit d'une manoeuvre consciente de la part de l'artiste. Ainsi le contrôle qu'il exerce sur le produit de sa perception lui sert à prendre position dans le contexte de la réception de l'oeuvre d'art de son époque "ère de la reproductibilité technique". Au-delà d'une lecture des esquisses comme séquence, il s'agit d'étudier une série de pratiques et d'oeuvres qui en rejoignent les enjeux manifestes: la spatialisation de l'écrit avec Stéphane Mallarmé, la construction du cadre avec Paul Cézanne, la question du livre avec Marcel Broodthaers. Les deux approches - lecture des esquisses comme une séquence et insertion dans un réseau d'artistes et d'époques - démontrent une réception contemporaine de l'oeuvre de Rémy Zaugg.
Livre-objet --- Ecriture
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Livre-objet --- Reliure
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Comment une narration se déploie-t-elle dans un objet en trois dimensions ? Comment une mise en page peut-elle soudain donner un autre ton au récit ? Comment inviter le lecteur à découper, tirer, déchirer, frotter, coller, retourner, ranger, semer, brûler, disséquer son livre afin d'en délivrer le contenu permet-il soudain de donner au autre ton au récit ou de réinventer le mode de lecture ?
Livre-objet --- Edition
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L’ "Usuel de locutions ordinaires " présente une sélection de 100 locutions choisies avec soin. Elles appartiennent toutes à l’usage le plus courant, le plus banal de la langue française, en l’occurrence. Ce livre propose au lecteur de se réapproprier le plus concrètement du monde ces locutions en les détachant pour les recoller sur de nouveaux supports (murs, enveloppes, distributeurs de billets, frigidaires, vitrines, vitres, chiens, chats, etc.), afin de leur offrir de nouveaux sens liés à ces nouveaux contextes. L’idée est venue comme ça, en écoutant, en répétant des mots à l’envi, en réécrivant, mot à mot, en questionnant l’évident, en découvrant que « du reste » peut être lu comme une revendication, « dites donc » comme une injonction, en lisant « toujours est-il » comme une vraie question… Ce livre est un hommage au courant, au banal, au simple, un changement d’échelle, un zoom sur le bout de la langue, une pause sur le fil de la parole, commune.
Sémiologie --- Livre-objet --- Langue --- Langage
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Un flip-book (ou folioscope) de Tanya Aydostian et Sébastien Lasserre (France - 2010). Ce flipbook recto-verso réunit 2 des 23 participations à la 14ème édition du Défidéfous, organisé par l'association FOUS D'ANIM de septembre à décembre 2009.
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Flipbook (folioscope) réalisé à l'occasion du court-métrage "Waka Huia". Il reprend un extrait de la chanson maorie "E Pari Ra" de Paraire Tomoana.
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Flipbook (folioscope) en relief du collectif japonais Mohiken.
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